J'adore Céline Salette et je trouvais son perso de sans abri très bon car assez touchant derrière le cliché, je suis donc assez content de ce pseudo-centric sur elle. Tout le passage avec le resto dans le noir est aussi assez fameux et le retour de Foresti fait plaisir. C’est super bien exploité et je suis toujours fan des mimiques de Valérie, juste toujours hilarantes !

Certains running-gags de Jonathan Cohen, ou son style global, ne me plaisent pas plus que ça (tout le délire de croire les SDF comme des enfants par exemple). Je n’ai donc pas forcément un avis très représentatif de la majorité.

L’épisode reste tout de même assez amusant avec un bon rythme et un climax plutôt réussi avec toujours ce Anne-bashing qui est une des meilleures idées de la série.

Drôle, mais sans plus. L'intrigue n'était pas passionnante, mieux que l'hôpital du dernier épisode cependant.

La candidate SDF est parmi les moins drôles, donc la voir au centre de l'intrigue avec en plus Macaigne qui fait du Macaigne en bonus était loin de me réjouir.

Mais à côté de ça l'épisode est sans doute  celui qui m'a fait le plus rire depuis le début : Marc en papa des SDF, Bekhti qui s'enfonce un clou dans la main, la boite de magicien, le date au resto dans le noir, le retour de Foresti... Dedienne est aussi franchement génial dans chacune de ses scènes. 

Cet épisode m'a vraiment fait beaucoup rire, peut-être davantage que le précédent qui plaçait déjà la barre très haut. Décidément je m'attendais à quelque chose de bon avec Jonathan Cohen, mais vraiment pas à un truc aussi drôle. Le passage au "toilettes" du restaurant m'a vraiment déclénché un gros fou-rire (oui, je suis parfois pipi-caca en matière d'humour).

Je le supputais un peu, mais cet épisode me l’a confirmé : les « next episode » s’amusent à mélanger vraies scènes qui ont réellement lieux dans l’épisode prochain, mais aussi d’autres totalement fictives. Comme ici, où jamais Soraya ne fait le malaise cardiaque annoncée. J'aime beaucoup l'idée, très Arrested Development.

Sinon, l’infantilisation par Mark de personnages pourraient être un gag déjà-vu, qui ferait redondance avec les séquences avec le fils de Claude d’il y a deux épisodes. Mais l’épisode précédent a montré qu’être père pour ce personnage est une idée qui le travaille. Donc je préfère y voir un trait de caractère, d’autant que sa vision de la paternité très très immature offre de bons gags.

Sinon, à part ça un épisode moins fun que le précédent, l’aide au SDF et le diner à l’aveugle sont des moments moins flamboyants que la Sainte-Guille, mais j'ai tout de même lâché des éclats de rire de temps en temps.

Et enfin, la série va entrer bientôt dans une nouvelle phase, car avec l’élimination des candidates, elle rétrécit ses différents champs d’humour. Pour contrefaire cela, il faudra faire évoluer les caractères des personnages féminins et faire naître différents types d’humour chez elles, comme Valérie commence à le faire. Et là, je parle pour toi, Alexandra. 

Petite baisse de régime pour cet épisode. Je n'appréciais pas spécialement le personnage de la SDF, et compte-tenu du fait que l'intrigue est majoritairement concentrée sur elle, forcément...

Mais voir Marc aussi stupide et infantilisant avec les sans-domiciles, c'était quand même très malsain (mais très drôle).